Dans mes publications, il y a une participation au livre collectif complètement farfelu des éditions Sous la cape : Les pires de Sous la cape. Sous le pseudonyme de Sylvie Lézèmechot, j'ai écrit un extrait parodique d'une romance érotique soit disant intitulée Un Kilt pour deux cœurs (trouvaille de l'éditeur, Pierre Laurendeau, car pour ma part j'avais nommé ça Viril, sportif et Écossais, titre que je reprends ici - mais Un Kilt pour deux cœurs est bien meilleur), avec la notice du livre qui bien sûr n'existe pas et les commentaires qui auraient être écrits à son propos. C'est idiot, mais ça me fait rire. Ce sera peut-être votre cas aussi.
Extrait
— Laisse-moi
te montrer, dit-il en lui faisant un clin d’œil.
Brian prit une
profonde inspiration, plia ses jambes couvertes de longs poils roux,
saisit la grume, se redressa et fit voler la lourde charge. Le tronc
s'abattit sur le sol dans un grand fracas, non sans avoir effectué
le quart de tour réglementaire.
— Splendide !
s'exclama Sarah, rougissante.
L'attention de la
jeune Française ne se portait cependant pas sur l'exploit : son
regard avait glissé sur le corps athlétique du bel Écossais.
Brian avait revêtu
un mignon petit kilt qui lui faisait un cul d'enfer. Tout à ses
efforts, le sportif n'avait pas prêté attention au souffle taquin
qui s'était engouffré sous le tissu et l'avait légèrement
soulevé. Sarah en était profondément émue.
Une romance so
sexy
L'amour au cours
d'un séjour linguistique ? Sarah en rêve. Édimbourg lui ouvre
les bras ; elle aimerait que Brian, ce merveilleux athlète de
Caber, lui ouvre son cœur. Mais c'est son kilt que cet Écossais pur
malt ouvre devant les yeux ébahis de notre héroïne.
La légende dit-elle
vrai ? L'air frais d’Écosse caresse-t-il tendrement les
attributs virils de ces hommes fiers et poilus ? Quelle sera la
réaction de cette frenchie venue pour travailler la langue ?
Enfin, Brian réussira-t-il à planter son tronc d'arbre ?
Laissez-vous séduire
par cette romance qui sent bon la tourbe !
Avis de
blogueuses :
« Je kiffe
trop les Écossais, ils en ont entre les jambes ! »
« Oh oui, on
en redemande, Brian, montre-moi ton tronc d'arbre ! »